Notre société

English Proficiency SARL est une entreprise familiale. Nous avons ouvert en 2019 en tant qu’auto-entreprise et en 2013 nous nous sommes transformés en SARL. En septembre 2023, nous avons obtenu le certificat Qualiopi.

Les directeurs et formateurs sont Laura Moreau et Mike Stone. Ensemble, nous proposons des formations d’anglais aux professionnels, aux demandeurs d’emploi et aux étudiants de l’enseignement supérieur.

Mike enseigne l’anglais depuis plus de 20 ans. Il a enseigné l’anglais dans des écoles, des associations et des entreprises dans neuf pays. En plus d’être certifié pour enseigner l’anglais, Mike est titulaire d’un master en gestion et leadership éducatifs appliqués et d’une licence en relations internationales.

Laura enseigne l’anglais depuis 4 ans. Elle a enseigné à des particuliers et à des groupes à différents niveaux d’anglais. Laura est titulaire Laura est titulaire d’un CELTA de Cambridge et d’une licence en géographie, environnement et aménagement du territoire.

Nos valeurs

Apprentissage efficace : Nous promouvons des approches contemporaines de l’apprentissage.

Pensée critique : Nous encourageons nos étudiants à faire preuve d’esprit critique.

Justice sociale : Nous respectons les personnes de différentes cultures.

Responsabilité sociétale des entreprises

Pour compenser la pollution causée par votre formation et protéger l’environnement, lorsque vous vous inscrivez chez nous, nous plantons un arbre en France !

A ce jour, nous avons planté 16 arbres ! 🌳

Pour ce faire, nous faisons appel à EcoTree, une entreprise danoise située à Copenhague. EcoTree soutient divers projets environnementaux en France et à l’étranger.

Votre arbre peut être planté dans l’une des trois régions de France : Bretagne, Grand Est ou Nouvelle-Aquitaine.

Dans la presse

Radio Alpes Mancelles : En 2021, nous avons eu l’honneur d’être interviewés par la Radio Alpes Mancelles. Cliquez ici pour écouter l’interview.

maville : Toujours en 2021, nous avons eu le plaisir d’être interviewés par Maville par Ouest-France. Cliquez ici pour lire l’article.